BURTON C. BELL, l’ancien chanteur de Fear Factory, dévoilera le mois prochain sa série de photographies « Paradise Found » à la galerie Vincent Castiglia de Fort Lauderdale, en Floride. BURTON C. BELL a quitté Fear Factory en 2020, tandis que le groupe a dévoilé dans les derniers jours que son remplaçant est Milo Silvestro.
Pour en revenir à BURTON C. BELL, la série comprend vingt photographies originales, en couleur, de bâtiments industriels abandonnés, prises dans l’obscurité et le brouillard entre 2002 et 2003. Les images de BELL sont imprimées sur de l’aluminium à l’aide du procédé de sublimation thermique – une approche que BELL appelle « impressionnisme celluloïd ». Les photographies sont représentatives de l’esthétique industrielle et de science-fiction de BELL.
La galerie Vincent Castiglia, qui a ouvert ses portes en 2022 pour présenter les dessins de tatouage de Castiglia et une sélection de peintures en édition limitée, présentera pour la première fois le travail de BURTON C. BELL le 11 mars. L’exposition se tiendra jusqu’au 23 mai. Évidemment, on peut s’attendre à voir plusieurs images tirées de cette exposition. À suivre.
BURTON C. BELL est connu pour sa carrière de trente ans en tant que leader et chanteur du groupe de metal industriel Fear Factory. Son style vocal est devenu le modèle d’un genre de musique qui est devenu un pilier de la scène musicale métal. La fascination de BELL pour la science-fiction et son amour des bâtiments et des machines industriels ont inspiré ses concepts lyriques dystopiques. Ces thèmes se sont transformés en points focaux pour sa photographie, en particulier les structures abandonnées et délaissées d’une société post-industrielle devenue obsolète.
En 2002, alors qu’il enregistrait sa nouvelle musique dans un studio entouré de forêts, c’est à Milton, en Pennsylvanie, que BELL a trouvé le paradis dans cette petite ville qui était autrefois le cœur de l’industrie manufacturière de la vallée de la Susquehanna. L’époque de l’industrie à Milton est révolue depuis longtemps ; cependant, les usines et les bâtiments restent dormants et vides, inspirant la musique et la vision de BELL.
« Je suis reconnaissant d’avoir l’occasion d’exposer « Paradise Found » à la galerie Vincent Castiglia et de pouvoir partager la beauté que j’ai vue pendant ces quelques secondes d’exposition », commente BELL. Ces tirages n’ont pas été photoshoppés. C’est exactement ce que je voyais ».
Cet événement fait partie de la vision plus large de BELL, qui poursuit son prochain chapitre en tant qu’artiste aux multiples facettes. Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site VincentCastigliaGallery.com.
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