Quelques heures après l’annonce officielle confirmant sa séparation avec Arch Enemy, Alissa White-Gluz n’a pas perdu de temps pour ouvrir une nouvelle ère artistique. L’ex-chanteuse du groupe frappe fort en dévoilant The Room Where She Died, le tout premier extrait de son album solo prévu pour 2026.
Alors qu’Arch Enemy restait évasif sur ses plans futurs, Alissa choisit au contraire la transparence créative : une chanson profondément introspective, un univers visuel soigneusement construit et une déclaration claire de renaissance.
Alissa White-Gluz : “J’espère que vous aimerez ce premier aperçu de mon album solo”
Dans son message, elle présente la chanson et le vidéoclip — un court-métrage symbolique dont elle signe elle-même le scénario :
« J’espère que vous aimerez ce premier extrait de mon futur album solo. Vous pouvez regarder la vidéo complète sur ma chaîne YouTube.
“The Room Where She Died” est une chanson qui me satisfait profondément ; j’ai l’impression de pouvoir m’exprimer de tant de façons qui sont restées dormantes pendant des années. Cet album sera diversifié, et j’adore l’idée d’ouvrir ce nouveau chapitre avec cette chanson et ce vidéoclip, dont j’ai écrit le scénario.
J’ai hâte de partager davantage avec vous ! »
Ce premier titre marque une transition assumée : une direction artistique plus libre, plus sombre, plus cinématographique.
Voix interprétées, enregistrées et écrites par Alissa White-Gluz
Musique par Oliver Palotai
Batterie par Alex Landenburg
Paroles : “The Room Where She Died”
(par Alissa White-Gluz et Oliver Palotai)
I stand, lost in shadows of,
Years of lament etched into four walls.
Like a whisper,
A feverish dream.
Where only echoes respond,
I keep asking – how long?
This caravan follows a hearse,
Leaving the Room where she died.
Dying begins at birth.
To suffer is the way of our kind.
Let lies sit like baskets of,
Flowers in bloom,
Colours bright and false…
