Le 8 mars dernier, le Québec a vu naître un tout nouveau projet musical porteur d’introspection et de mélancolie : Existential World, piloté par la batteuse Hélène Gilbert, en collaboration avec le multi-instrumentiste Antoine Baril et le chanteur Louis Doyon. La première pièce, « Eternal Sleep », puise ses influences dans le heavy et doom metal des années 70 et 80, avec un rythme lent mais soutenu, créant une atmosphère lourde, mélancolique, sombre et réfléchie.
Cette chanson marque le début d’un projet où la musique devient un véhicule d’expression profondément personnelle. Hélène y explore, à travers ses compositions, les moments sombres et mélancoliques que chacun rencontre au cours de sa vie : la mort, la liberté, le deuil, l’isolement, la maladie et l’incertitude. Des thèmes universels, abordés avec une lucidité poétique.
« Ces moments difficiles ne sont pas seulement des épreuves physiques ou sociales, ce sont des chocs existentiels. Ils révèlent notre vulnérabilité, mais aussi notre pouvoir : celui de résister, de créer, de se relever autrement. » – Hélène Gilbert
À propos de la chanson « Eternal Sleep », elle ajoute : « ‘Eternal Sleep’ est une ballade metal mélancolique dont j’ai fait les écritures. Entrer en studio d’enregistrement professionnel et apprendre tout le déroulement de ce qui s’en suit, était un rêve à réaliser dans mon cheminement d’apprentie musicienne, heureusement merci j’avais un excellent équipage ! Mes collaborateurs ont fait un travail de maître !!!
Étant batteuse que depuis 5 ans, ça été beaucoup d’apprentissage, en particulier celui de bien gérer le clic pour pouvoir entrer en studio. Faire de la musique de nos jours, n’est pas de tout repos et la concurrence est féroce… Je m’en tiens à me terrer dans mon bunker sous aucune influence. »
À travers Existential World, l’artiste propose une réflexion sur la condition humaine, notre mortalité et le sens que l’on choisit de donner à notre vie.
La chanson « Eternal Sleep » est disponible dès maintenant sur YouTube. À découvrir!
Voici la chanson « Eternal Sleep » :
